Maurice de Fleury à Bouhélier, pendant la guerre
Maurice Fleury (de) (Bordeaux, 1860/1931)Ensemble de cinq lettres et une carte de Maurice de Fleury, adressées à son ami, le poète Saint-Georges de Bouhélier.
-Belle déclaration d'amitié "tu es un ami sans pareil [...]". (31/12/1910).
-Fleury vient de perdre sa belle-mère. Il évoque Gaston Calmette et veut "l'intéresser à votre cause". (21/09/1911).
-Carte de visite imprimée avec mention autographe signée "[...] je vous remercie de votre affectueux et charmant télégramme. Votre pièce a un grand succès. Elle a grandi aux yeux de tous [...]". (2/01/1911).
-"Je suis mobilisé, depuis le 4 août, et je ne sais pas si un soldat a le droit de signer, sans autorisation spéciale, une publication. J'imagine qu'on ne me cherchera pas chicane. Donc envoyez-moi ces épreuves [...]". (26-12-1914).
-Fleury encense le dernier ouvrage de Bouhélier, intitulé : Les Allemands destructeurs de cathédrales et de trésors du passé (Hachette, 1915). Ce mémoire était consacré aux bombardements de Reims et d'autres villes, par l'armée allemande, à travers une série de documents analysés par Georges de Bouhélier, en collaboration avec le médecin Louis Capitan (1854-1929). L'ouvrage était précédé d'une pétition teintée de germanophobie. (30/03/1915).
-Poème de six vers précédent un bref courrier (22/10/?).
3 enveloppes conservées avec adresses autographes.
300,00€ 210,00€