3 lettres de l’architecte Jean-Baptiste Rondelet sur son Traité de l’art de bâtir
Jean-Baptiste Rondelet (Lyon, 1743/1829)Ensemble de 3 lettres de Jean-Baptiste Rondelet, signées en son nom par son fils Antoine Jean-Baptiste Rondelet (1785-1863), architecte, inspecteur puis architecte du Panthéon.
Sur la réédition de son Traité théorique sur l’art de bâtir, en 7 volumes. L’une (au moins) est adressée à Claude-Pierre Molard, directeur du Conservatoire des Arts-et-Métiers : "Après avoir fait connaître dans le 7e livre de l’art de bâtir les importants services que le fer peut rendre dans l’architecture, pour assurer la solidité des bâtiments, mon père désirerait ajouter quelques faits, à l’appui des notions qu’il donne dans la nouvelle édition qu’il publie en ce moment, sur l’usage qu’on peut en faire pour arrêter, et réparer même les effets de la poussée des voûtes sur les murs qui les soutiennent. Il se rappelle à ce sujet, qu’une opération de ce genre a été exécutée sous votre direction, et avec un plein succès, dans les salles du Conservatoire des arts et métiers […]". Il lui demande des renseignements et adresse une note sur l’écroulement du plancher de la manufacture de Manchester.
Dans une lettre adressée à Carrey, bibliothécaire de la Chambre des Pairs, il annonce qu’il ne pourra lui fournir les volumes manquants, l’édition étant épuisée, mais qu’il prépare une nouvelle édition, etc.
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