Lettre amicale d’Adèle Hugo, femme du poète, à Henry Didier
Adèle Hugo (née Foucher) (Paris, 1803/1868)« Nous nous plaignons tous beaucoup de votre persistante absence. Nous espérons que vous la ferez cesser quand vous serez convaincu de tout le plaisir que nous aurons à vous voir, et de la peine que nous ressentons tous de votre éloignement. Vous trouverez toujours Place Royale une famille qui est la vôtre et pour laquelle votre bien venue sera une véritable fête. Mon mari est de moitié dans mes instances sans compter mes fils qui sont vos meilleurs amis. A vous de cœur, cher Monsieur. La Vtesse [vicomtesse] Victor Hugo. T.S.V.P. Nous serons tous les jours de cette semaine à la maison, venez nous trouver à l'heure du diner ».
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