Arno Breker, bouleversé par les attaques dont il est objet et par l’évocation de son ami Jean Cocteau
Arno Breker (Elberfeld, 1900/1991)"Je viens de trouver par hasard dans une librairie de la gare de Düsseldorf [...] le livre de poche de ton entretien avec le cher disparu Jean [Cocteau]. L'ensemble m'a complètement boulversé. C'est la clé unique pour rentrer dans le labyrinthe de son oeuvre. Une traduction en allemand est à mon sens indispensable [...]". Breker voudrait voir Fraigneau à Paris et explique avoir eu une "crise de coeur assez grave et je suis obligé de garder le lit encore 5 semaines".
Il évoque ensuite la campagne d'hostilité dont il l'objet, ayant été l'un des sculpteurs officiels du IIIe Reich. "Les attaques que je dois subir me crèvent le coeur, car la lutte contre moi viens de plus en plus dure. Un jour on les aura [...]".
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