Alexandre Bida prévoit un nouveau voyage en Orient.

Alexandre Bida donne des nouvelles de leurs amis communs et en demande de ceux pour lesquels Hérald est muet. «Mermet est-il revenu de son voyage funèbre ? Ducuing a-t-il quelque carré de papier ? Pour Forcade, je suis assez tranquille, voyant souvent son nom dans la Revue». Il ajoute : «Quant à moi, mon cher ami, je travaille pour pouvoir partir au printemps vers des climats meilleurs. Cette idée m'absorbe. On n'a à peine des nouvelles de Latour. On suppose l'avoir vu à Foix courant après des écus. Il est plus croyable qu'il est à St-Ibars où il bourgeonne du nez, dit-on. Si Batissier est encore à Paris, faites-lui mes amitiés et dites-lui mes projets d'Orient [...]». [Al. Bida fera un second voyage en Palestine, en 1850].