Le poète Montfleury sort de captivité.

Monfleury, menaçant, veut récupérer son dû. «Comme je crois que vous n'avés pas oublié que vous avés touché une gratiffication de deux cens livres que la Cour m'avoit fait la grace de m'accorder pour m'avoir du linge et autres petits besoins pendant ma captivité, ainsi je vous supplie, monsieur, de vouloir bien avoir la bonté de me faire remettre par le premier ordinaire cette petite somme. J'espère, monsieur, que vous n'y manquerés pas parce que je serois faché d'être obligé de me servir des voyes qui ne vous fussoient pas agréables [...]».