Stéphane Georges de Bouhélier Lepelletier dit Saint-Georges de Bouhélier
Auteur dramatique, fondateur du naturalisme ; il a voulu, dans son oeuvre, combiner le symbolisme et le réalisme.
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Auteur dramatique, fondateur du naturalisme ; il a voulu, dans son oeuvre, combiner le symbolisme et le réalisme.
Premier Prix de Comédie (1852), il rejoint le théâtre de l’Odéon, avant d’entrée à la Comédie française en 1854. Mais c’est le vaudeville qui lui apporte le succès. La légende veut qu’il interpréta plus de 250 personnages.
Botaniste et explorateur, président de l’Académie des sciences, il fit de longs voyages au Brésil et en Amérique du Sud dont il rapporta un riche herbier conservé au Muséum national d’Histoire naturelle.
Peintre de fleurs issu de l’École lyonnaise, il expose au Salon dès 1834. Soutenu par les institutions, il fait l’objet de vives critiques de la part de Charles Baudelaire.
Poète, écrivain et diplomate français, prix Nobel de littérature en 1960.
Conventionnel montagnard, soutien indéfectible de Robespierre avec qui il monte sur l’échafaud le 9 thermidor.
Poète et philosophe, officier, proche des Encyclopédistes, auteur des Saisons. Membre de l’Académie française (1770).
Homme politique, critique littéraire, académicien (1844).
Sculpteur, il alterne les sujets religieux, les allégories et les bustes. Il reçoit de nombreuses commandes officielles, notamment pour des portraits honorifiques et des monuments.
Diplomate italien au service de Napoléon, il devient ministre de la Guerre et des Affaires étrangères du roi de Sardaigne, à la Restauration.
Maréchal de France (1757). Son nom s’orthographiait également Senneterre ou Senectère.
Journaliste et écrivain nationaliste, il adhère au PPF de Doriot dès sa fondation et devient rédacteur en chef de son organe, l’Emancipation nationale.
Romancier catholique et royaliste, lauréat du Grand prix du roman de l’Académie française.
Général et diplomate, député légitimiste, confident et correspondant officiel du comte de Chambord.
La révolution de 1830 lui ouvre la carrière diplomatique, ministre au Brésil, à Lisbonne et Copenhague. Membre de l’Académie Française en 1849.
Historien, homme de lettres, il est secrétaire général du Ministère de l’Instruction publique puis conseiller d’État. Il est membre de l’Académie française.
Mémorialiste et courtisan, témoin privilégié de la fin du règne de Louis XIV et de la Régence.
Homme de lettres, il a publié de nombreux essais et préfaces consacrés à l’histoire de la littérature.
Journaliste. Employé au secrétariat de la correspondance de Napoléon 1er (1854-1859).
Général, ministre de la Guerre (1845-1847), il se consacra également à la littérature et donna plusieurs livrets d’opéra.
Poète et critique littéraire. Académicien (1844). Adèle Hugo a été son grand amour.
Général, il participe au putsch des généraux d’avril 1961, en Algérie. Chef de l’OAS, il est condamné par le Haut Tribunal Militaire, le 11 juillet 1961.
Prince-évêque de Genève (1645-1660), il était le neveu de saint François de Sales et fut chargé de son procès en canonisation.
Constituant et conventionnel corse, proche de Robespierre et des Bonaparte.
Cabaretier français. Il créa et dirigea le célèbre cabaret parisien Le Chat noir.
Industriel et député, propriétaire de la Manufacture des Tapis d’Aubusson (fondée par son père en 1802).
Bibliothécaire et philologue français, professeur d’hébreu au Collège royal et garde des imprimés de la Bibliothèque du roi. Membre de l’Académie française.
Poétesse et femme de lettres.
Écrivain, poète et critique d’art, ami de Picasso et Modigliani, il fut l’un des grands défenseurs du cubisme.
Evêque de Laon (1817-1821), puis évêque d’Evreux (1822-1841).
Savant italien, chimiste et physicien, on lui doit plusieurs découvertes sur les propriétés des gaz et sur la teinture, ainsi que l’invention d’une machine à filer la soie.
Compositeur, chef d’orchestre et musicographe américain d’origine russe, élève de Rimsky-Korsakov.
Comédien au talent reconnu. Auteur dramatique, pensionnaire à la Comédie-française et professeur de comédie.
Humaniste, jésuite, professeur de Rhétorique à Caen puis à Louis-le-Grand, l’un des plus éminents latiniste de son époque.