Empereur des Français.

Frère aîné de Napoléon, roi de Naples et roi d’Espagne ; à la chute de l’Empire, il s’exile aux Etats-Unis et prend le titre de comte de Survilliers.

Prince français et roi de Westphalie de 1807 à 1813. Il était le plus jeune frère de Napoléon Bonaparte.

Princesse française et altesse impériale (1804), sœur de Napoléon Bonaparte. Elle fut princesse de Piombino et de Lucques, puis grande-duchesse de Toscane^.

Prince, président de la République puis empereur des Français.

Fils de Jérôme Bonaparte, député d’extrême-gauche en 1848 (d’où le surnom de Prince de la Montagne), il participe activement à l’édification de l’unité italienne.

Fils aîné de Jérôme Bonaparte et de la princesse de Wurtemberg, prince de Monfort.

Petit fils de Jérôme Bonaparte, expulsé de France en 1886, il épouse la princesse Clémentine de Belgique en 1910.

Soeur de Napoléon, épouse du général Leclerc puis de Camille Borghèse, elle est restée très proche de son frère.

Compositeur, secrétaire perpétuel de l’Académie des Beaux-arts, directeur de l’Opéra Comique (1950-1969), puis directeur de l’Opéra de Paris.

Romancier et critique littéraire français.

Peintre et illustrateurs, représentant typique du style Art déco.

Peintre.

Pédagogue, auteur de nombreux ouvrages.

Historien barisien, membre fondateur et président de la Société des Lettres, Sciences et Arts de Bar-le-Duc.

Médecin consultant du roi, auteur d’un Traité de la nature et du traitement de la Phtisie pulmonaire (1804).

Ecrivain. Membre de l’Académie française (1932).

Peintre.

Enseignant, helléniste, traducteur et écrivain vaudois.

Statuaire, spécialisé dans les statues religieuses en bois. Il signe la statue de Notre-Dame-de-France, haute de 16m, au Puy-en-Velay.

Peintre académique et portraitiste, créateur du musée de Bayonne. Elu à l’Académie des beaux-arts en 1881, il sera aussi directeur de l’Ecole des beaux-arts.

Chansonnier, l’un des collaborateurs du Chat Noir, fondateur du Cabaret des arts.

Écrivain, il écrit à quatre mains avec son frère Maurice, des ouvrages consacrés au monde ouvrier, ainsi que des chroniques pour L’Humanité. Ils devaient tous deux trouver la mort au champ de bataille en 1914.

Écrivain, il écrit à quatre mains avec son frère Léon, des ouvrages consacrés au monde ouvrier, ainsi que des chroniques pour L’Humanité. Ils devaient tous deux trouver la mort au champ de bataille en 1914.

Peintre français. Il fut également directeur de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon.

Poète, critique d’art et traducteur français.

Baryton.

Général français de la Révolution et de l’Empire.

Avocat et député, défenseur de Beaumarchais et du général Moreau.

Docteur ès lettres, spécialiste de Proust et maire de Châteaudun de 1947 à 1965.

Religieuse hospitalière.

Philosophe, écrivain, académicien et économiste français. Premier représentant du courant empiriste en France. Il eut une influence considérable.

Explorateur de l’Asie centrale et du Tibet.

Peintre.

Peintre américaine. Elle vécu et travailla à Paris.

Mathématicien, physicien et navigateur français, il participa à la Guerre d’indépendance américaine sous les ordres de l’Estaing.

Romancier, critique littéraire, académicien (1919). Avocat de formation, il publie plus de deux cents ouvrages, abordant la poésie, le roman, le théâtre, l’essai ou encore le récit de voyage.

Ingénieur des mines, frère de l’Académicien, il a effectué des missions minières dans toutes les parties du monde et a publié le récit de ses voyages.

Inventeur de luminaires et d’éclairages publics ; au début du XIXe siècle, de nombreuses villes s’équipent de son procédé (Paris compte 11 000 luminaires Bordier-Marcet).

Joueur de tennis, il est l’un des « quatre mousquetaires ».