René de Tessé

(1648/1725)

Maréchal de France, général des galères de France, premier écuyer de la Dauphine et grand d’Espagne, chevalier de l’ordre de la Toison d’or, officier général de Louis XIV et diplomate sous la Régence.

Voir le document

Chrétien-Louis-Joseph de Guignes

(1759/1845)

Marchand et sinologue français. Fils de l’académicien et sinologue Joseph de Guignes, il fut l’interprète de l’ambassadeur néerlandais Isaac Titsingh à la cour de Qianlong en 1794 et 1795. Il est l’auteur d’un dictionnaire de chinois, français et latin.

Voir le document

Marguerite d’Autriche

(1480/1530)

Princesse de Bourgogne, fille de France, infante d’Espagne et duchesse de Savoie. Tante de l’empereur Charles Quint, elle assura pour lui la régence des Pays-Bas

Voir le document

Marguerite III de Flandre

(1350/1405)

Comtesse de Flandre, d’Artois et de Bourgogne, duchesse de Bourgogne. Elle fut, notamment, la mère de Jean Ier de Bourgogne dit Jean sans Peur.

Voir le document

Marie de Médicis

(1575/1642)

Marie de Médicis fut reine de France et de Navarre de 1600 à 1610, par son mariage avec Henri IV. Veuve en 1610, elle assura la régence au nom de son fils, Louis XIII, jusqu’en 1614. Elle était la fille de François Ier de Médicis et de Jeanne d’Autriche.

Voir les documents

Émilie de Morsier

(1843/1896)

Féministe suisse, elle s’est particulièrement investie dans les questions de droit des prostituées, et fonda, en 1879, avec Maria Deraismes, l’Association française pour l’abolition de la prostitution règlementée.

Voir le document

Georges de Nantes

(1924/2010)

Prêtre catholique français dit l’abbé de Nantes. Traditionaliste, il est le fondateur de la Ligue de la Contre-Réforme catholique.

 

Voir les documents

Nicolas IV de Neufville de Villeroy

(1542 ou 1543/1617)

Diplomate et secrétaire d’État, il négocie avec les protestants les édits de pacification de Bergerac (1577) et de Fleix (1580). Destitué par Henri III (1588), il adhére à la Ligue en 1589. Il se rallie à Henri IV (1593), qui le rétablit dans sa charge de secrétaire d’État.

Voir le document

Aymar de Poitiers-Valentinois

(1455/1510)

Seigneur de Saint-Vallier, de Cotonne, de Vielprat et d’Arlempdes, vicomte d’Etoile, baron de Chalencon, de Clérieu, de Sérignan, de Florac, de Privas et de Chevrières.

Voir le document

Marie-Jeanne-Baptiste de Savoie-Nemours

(1644/1724)

Aristocrate française. Fille de Charles-Amédée de Savoie, duc de Genève, de Nemours et d’Aumale et arrière-petite-fille du roi Henri IV, elle fut régente du duché de Savoie pour son fils Victor-Amédée II.

Voir le document

Vittorio De Sica 

(1901/1974)

Réalisateur, metteur en scène et acteur italien. Il est détenteur de quatre Oscar du meilleur film étranger, pour Sciuscià, Le Voleur de bicyclette, Hier, aujourd’hui et demain et Le Jardin des Finzi-Contini. Il obtint le Grand prix du Festival de Cannes 1951 pour Miracle à Milan.

Voir le document

Auguste Debay

(1804/1865)

Peintre et sculpteur, élève de Gros ; auteur des statues pour les fontaines des places de la Concorde et de Saint-Michel.

Voir le document

Prosper Debia

(1791/1876)

Erudit, agronome, secrétaire de la Société des Sciences et des Arts de Montauban ; il était également peintre et ami d’Ingres (qui fit son portrait).

Voir le document

Pierre Debray (puis Debray-Ritzen)

(1922/1993)

Pédopsychiatre et écrivain, grand amateur d’art et de littérature, fondateur du « Groupe » qui, dans les années 60, réunissait des écrivains et des artistes autour d’un sujet.

Voir le document

Olivier Debré

(1920/1999)

Peintre français, représentant majeur de l’abstraction lyrique. Il est le fils du professeur Robert Debré, le frère de Michel Debré, le père de Patrice Debré, l’oncle de Bernard Debré et de Jean-Louis Debré.

Voir le document

Elie Decazes (duc)

(1780/1860)

Ministre de l’Intérieur (1819) puis président du Conseil, fondateur des forges de Decazeville. Favori de Louis XVIII, il est député puis Ministre de la Police. Soupçonné de complicité dans l’assassinat du duc de Berry, il démissionne et est nommé ambassadeur à Londres.

Voir le document

Hippolyte Louis Alexandre Dechet (Jenneval)

(1801/1830)

Engagé à la Comédie Française après la révolution de juillet, il combat avec les patriotes belges. Il compose, à l’heure du bivouac, les couplets de la Brabançonne, futur chant national belge. Il est tué peu après, au cours d’une opération défensive contre les troupes de Saxe-Weimar.

Voir le document