Peintre et graveur français. Il est l’un des représentants majeurs de la nouvelle école de Paris.

Chirurgien, auteur de plusieurs ouvrages. En 1823, sa thèse, Essai sur les lésions traumatiques en général, lui vaut l’estime de ses confrères.

Maréchal de France, président du conseil de la Marine (1715) et ministre d’Etat (1727). Membre de l’Académie des sciences (1707) et de l’Académie française (1715).

Comédien français. Il fut sociétaire honoraire de la Comédie-Française.

Médecin et histologiste suisse, formé à Leipzig, Genève et Paris, il est professeur d’histologie normale, d’embryologie et de stomatologie à la Faculté de médecine de Genève, avant d’en devenir le doyen.

Écrivain, linguiste et universitaire, il est spécialiste du confucianisme et du haïku. Il a enseigné à la Sorbonne et à l’université de Chicago.

Armateur, négociant, collectionneur et chroniqueur d’art. Il fut rédacteur au « Bulletin bibliographique », au « Courrier de Nantes » et au « Phare de la Loire ». Collectionneur d’orfèvrerie, il était notamment spécialiste de la joaillerie du Maghreb.

Princesse de Grèce et du Danemark, elle était la fille de Marie Bonaparte et du prince Georges de Grèce.

Impératrice des Français (1853-1870), épouse de Napoléon III.

Neurophysiologiste suédois, prix Nobel de médecine (1970), pour ses travaux sur les neurotransmetteurs.

Maréchal de France.

Géographe et historien.

Géographe et naturaliste, ami de Jussieu et Cuvier, co-fondateur de la Société de géographie.

Ingénieur civil et architecte allemand. Il fut également pionnier de la résistance des matériaux et professeur d’Université à Berlin. Il travailla main dans la main avec un autre ingénieur fameux : Johann Friedrich Dietlein.

Ingénieur et homme de lettres, il est un proche de Léon-Paul Fargue et Paul Valéry. Touche-à-tout, il publie des romans, s’intéresse à la théologie ou encore au théâtre.

Naturaliste et entomologiste français, auteur des Souvenirs Entomologiques.

Ecrivain et journaliste polémiste ; proche de Doriot et du PPF.

Commandant de vaisseaux (La Gracieuse, Le Fier, Le Protecteur, Le Sagittaire, notamment). Il quitte le service en 1792 et se réfugie en Espagne.

Archiviste-paléographe, il fonde la Revue historique et devient spécialiste du XVIIe siècle. Il est membre de l’Institut (ASMP, 1901) et de la Société historique de Paris.

Emile Faguet s’est surtout intéressé à la critique des idées. Il est l’auteur des biographies de Corneille, La Fontaine, Voltaire ou encore Flaubert.

Général, explorateur, gouverneur du Sénégal et homme politique français.

Homme politique français, baron d’Empire et secrétaire de Napoléon Ier.

Peintre et illustrateur, élève de Jules Lefebvre et Benjamin-Constant. Il est caricaturiste pour Le Figaro, L’Assiette au Beurre et Le Rire.

Botaniste, directeur du Jardin botanique de Lyon.

Dessinateur de presse. Il fut pendant 45 ans, de 1960 à 2005, dessinateur politique au Figaro.

Clerc de notaire puis avocat, Falampin était en même temps un des fondateurs de L’Illustration, avec Paulin et l’homme d’affaires et avoué de George Sand, de 1841 à 1852.

Acteur français, sociétaire de la Comédie-Française.

Peintre espagnol.

Orfèvre français de renom.

Compositeur espagnol.

Écrivain et scénariste français.

Président de la République (1906-1913).

Evêque de Plaisance (1807), puis archevêque de Bourges (1813).

Historien et homme politique catholique, ministre de l’Instruction publique, membre de l’Académie française (1858) ; il réorganisa l’enseignement primaire et secondaire.

Littérateur, lecteur dans la maison d’Orléans, professeur de physique du futur Louis-Philippe, il a fait jouer plusieurs comédies.

Peintre de compositions animées et de scènes de genre, graveur et illustrateur. Il a beaucoup peint les Salons de peinture, les music-halls, les vues de Paris et de Venise, et les foules d’une manière générale.

Poète et écrivain, il célèbre Paris dans ses poèmes en prose comme « Piéton de Paris » (1939).

Cantatrice et actrice américaine.

Il se fait remarquer par Pierre Loti et Pierre Louÿs et obtient le prix Goncourt (1906), à l’unanimité, pour Les Civilisés.

Editeur, pressenti par Zola pour publier la lettre J’accuse.