Alfred Falloux (comte de)
Historien et homme politique catholique, ministre de l’Instruction publique, membre de l’Académie française (1858) ; il réorganisa l’enseignement primaire et secondaire.
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Historien et homme politique catholique, ministre de l’Instruction publique, membre de l’Académie française (1858) ; il réorganisa l’enseignement primaire et secondaire.
Littérateur, lecteur dans la maison d’Orléans, professeur de physique du futur Louis-Philippe, il a fait jouer plusieurs comédies.
Peintre de compositions animées et de scènes de genre, graveur et illustrateur. Il a beaucoup peint les Salons de peinture, les music-halls, les vues de Paris et de Venise, et les foules d’une manière générale.
Poète et écrivain, il célèbre Paris dans ses poèmes en prose comme « Piéton de Paris » (1939).
Il se fait remarquer par Pierre Loti et Pierre Louÿs et obtient le prix Goncourt (1906), à l’unanimité, pour Les Civilisés.
Editeur, pressenti par Zola pour publier la lettre J’accuse.
Economiste et homme politique, ministre de l’Intérieur et président du Conseil de Louis Napoléon Bonaparte.
Diplomate, magistrat et préfet, ministre plénipotentiaire aux Etats-Unis sous la Révolution.
Président de la République (1895/1899), mort subitement à l’Elysée d’une hémorragie cérébrale, le 16 février 1899.
Anarchiste, il fonde le Libertaire (1895), puis devient directeur du Journal du Peuple.
Félibre, ami de Mistral, fondateur de l’Association des félibres ; journaliste républicain, ministre de l’Instruction publique et des Beaux-arts dans le second cabinet Briand.
Chirurgien français, pionnier de la chirurgie gynécologique moderne. Il était le frère aîné d’Élie Faure.
Ardent républicain, opposant de l’Empire. Secrétaire général du ministère de l’Intérieur, en 1848. Académicien (1867). Il devient, après le 4 septembre 1870, vice-président du gouvernement de la Défense nationale et ministre des Affaires étrangères. Négociateur du traité de Francfort.
Géologue et minéralogiste suisse. Fondateur et président du Club alpin suisse ; ses travaux portèrent spécifiquement sur le Mont-Blanc dont il dessina les premières cartes géologiques.
Fils d’Antoine Favre, et frère de Vaugelas, il est juriste à Annecy, baron de Pérouges, président le Conseil du Genevois, au Sénat et au Conseil d’État.
Gentilhomme servant de la duchesse de Savoie, conseiller d’Etat de Savoie.
Député du Chablais à l’assemblée nationale des Allobroges, procureur général syndic du département du Mont-Blanc, il se montra particulièrement excessif dans ses décisions et imposa la terreur dans toute la région.
Astronome, membre (1847) puis président (1872) de l’Académie des sciences, directeur du Bureau des Longitudes, il fut plusieurs fois ministre.
Mathématicien. Il fonde, avec Charles-Ange Laisant, L’Enseignement Mathématique, en 1899. Une revue qu’il dirigera, pendant cinquante-cinq ans, avec différents co-directeurs. Il se tourne, en parallèle, vers la réorganisation de l’enseignement mathématique en Suisse.
Général de la Révolution, assassiné par son domestique.
Ingénieur hydraulicien, auteur d’un Mémoire sur la théorie des écluses (1780), il avait prédit la chute du pont de la Mulatière à Lyon.
Historien, imprimeur et bibliothécaire milanais, spécialiste de l’histoire du costume.