Jean-Jacques Henner
Peintre. Il signe La Chaste Suzanne (1865), au Louvre, et Biblis changée en source (1867), au musée de Dijon. Membre de l’Académie des Beaux-Arts, un musée national lui est consacré à Paris.
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Peintre. Il signe La Chaste Suzanne (1865), au Louvre, et Biblis changée en source (1867), au musée de Dijon. Membre de l’Académie des Beaux-Arts, un musée national lui est consacré à Paris.
Diplomate et érudit français. Il officia dans toute l’Europe puis aux côtés du comte de Vergennes. Hennin fut un membre fondateur de l’Académie celtique et entretint une longue correspondance avec Voltaire et Bernardin de Saint-Pierre.
Auteur dramatique dont on n’a que très peu d’éléments biographiques et qui eut un immense succès au lendemain de la Révolution.
Ecrivain et critique. Membre de l’Académie française (1945).
Homme politique, figure de la collaboration, devenu secrétaire d’État à l’Information et à la Propagande du régime de Vichy. Grand orateur de Radio-Paris, il sera assassiné par un groupe de résistants, le 28 juin 1944.
Peintre, graveur et dessinateur, membre de l’Ac. des Beaux-Arts (1849).
Physiologiste et mathématicien, préparateur de Claude Bernard, directeur du laboratoire de physiologie des sensations, auteur de travaux de psychologie expérimentale, d’acoustique et d’optique. Il influence très fortement les néo-impressionnistes, dont Seurat et Signac, avec sa théorie de la psychologie de lignes.
Anarchiste français, guillotiné pour avoir commis plusieurs attentats.
Révolutionnaire français. Il fut député de la Moselle à la Convention nationale et vota la mort du Roi.
Peintre paysagiste, membre de l’Académie royale de peinture et sculpture (1670).
Général de division, il servit en Espagne, en Algérie et en Crimée.
Voyageur et littérateur, il entre au service d’un prince russe et se trouve déporté en Sibérie ; de retour en France, il devient secrétaire général du Bulletin universel des sciences ; ruiné, il se suicide en 1836.
Romancier, lauréat du Goncourt (1939), du Renaudot (1931) et du grand prix du roman de l’Académie française (1944). Il fut également élu à l’Académie Goncourt.
Anthropologue, ethnologue française. Elle fut une grande féministe.
Directrice de la chaire d’« étude comparée des sociétés africaines », au Collège de France.
Interprète du roi, traducteur, l’un des collaborateurs du Journal étranger.
Archéologue et épigraphiste, conservateur des antiquités grecques et romaines au Louvre, membre de l’Institut (Inscriptions).
Homme politique, membre de l’Académie française, emblématique maire de Lyon.
Peintre spécialisé dans les scènes de chasse et les sujets animaliers avec une prédilection pour les chiens. Élève de Philippe Rousseau, il est également décoré de la Légion d’Honneur.
Peintre néoclassique, portraitiste, élève de David, prix de Rome (1797), membre de l’Académie des Beaux-arts (1822).
Financier et diplomate espagnol.
Dessinatrice et femme de lettres française. Elle obtint le Prix Femina, en 1936.
Physiologiste suisse d’origine russe, fils du philosophe révolutionnaire Alexandre Herzen, il étudie la médecine à Londres et Berne avant de devenir professeur à la Faculté de médecine de Lausanne.
Prince de Hesse, électeur de Prince-Cassel (1847-1866).
Officier allemand, landgrave de Hesse (1760-1785), correspondant de Voltaire.
Princesse allemande, figure de la résistance à la domination de la France napoléonienne.
Editeur de Jules Verne, Balzac, Zola et Hugo, entre autres.
Psychiatre, fondateur de la pédopsychiatrie et l’un des introducteurs en France de la Psychanalyse.