Antonio La Gandara (de)
Peintre de la Belle-époque, il est l’ami du tout Paris.
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Peintre de la Belle-époque, il est l’ami du tout Paris.
A la chute de l’Empire (après avoir fait les batailles de Wagram, La Moskowa et Leipzig), il devient directeur de la fonderie de Douai. Elu député du Nord en 1852.
Poète et critique, de l’Académie française (1776), adversaire des philosophes.
Gouverneur général de Saint-Domingue (1785-1787), ministre de la Marine (1787-1790).
Dernier évêque de Saint-Pol-de-Léon (1772-1802).
Philosophe, philologue et historien français, membre de l’Académie française (1639).
Abbé de Margon (Hérault), il est également théologien et historien, auteur de nombreux ouvrages.
Littérateur, poète et critique littéraire ; s’étant brouillé avec Fréron, il créa l’Observateur littéraire, salué par Voltaire.
Ministre de la Marine de Louis XVI. Mort guillotiné à Paris le .
Helléniste, membre de l’Académie des inscriptions.
Conventionnel, président de la Convention nationale, président du Directoire, il est l’un des instigateurs des coups d’état des 18 fructidor an V et 22 floréal an VI.
Préfet du Tarn (an 10 – an 12), du Puy-de-Dôme (an 12 – 1806) puis de Gênes.
Intendant des Menus-plaisirs de Louis XVIII, directeur général des Beaux-arts, membre de la Chambre des députés.
Ministre de la Maison du Roi, de 1824 à 1827.
Homme des Lumières français, il vit au milieu des savants. Député de la noblesse aux États Généraux, il est l’un des premiers à se réunir au Tiers et se montre très libéral. Il meurt lapidé à Gisons, le 4 septembre 1792.
Homme politique, voyageur, scientifique et philanthrope, député aux Etats généraux de 1789, fondateur de l’École des Arts et Métiers (1780), membre de l’Académie des sciences.
Homme de lettres et historien français. Député du Cher (1827-1848), membre fondateur de la Société française pour l’abolition de l’esclavage.
Député royaliste de Loire-Inférieure à la Constituante et la Législative, correspondant du Comte de Chambord.
Militaire et homme politique nationaliste, président des Croix de Feu, puis du Parti Social Français ; résistant, il fonda le réseau Klan.
Ecrivain, prédicateur, jésuite, auteur de tragédies, de sermons et de Poèmes latins, dont l’un, sur les victoires de Louis XIV, a été traduit en vers français par P. Corneile.
Poète passionné par la Grèce antique, il est un temps proche de l’Action française avant de s’en éloigner pour mieux défendre le Romantisme.
Aristocrate français.
Evêque d’Arras (1802-1851), cardinal (1846).
Archevêque de Bourges (1861-1879).
Deuxième prince de Thurn et Taxis, ministre des Postes impériale et chef de la maison de Thurn et Taxis de 1714 à 1739.
Diplomate, pair de France.
Poète et philosophe, membre des académies de Nancy, Dijon et Metz, mort sur l’échaffaud.
Grand fauconnier de la couronne, le duc de La Vallière emploie sa fortune à composer une immense bibliothèque qui forme aujourd’hui le fonds de la bibliothèque de l’Arsenal.
Ecrivain monarchiste, membre de l’Académie Goncourt, très attaché au terroir normand.
Lieutenant général des armées du roi, premier gentilhomme de la chambre et grand maître de la garde-robe ; comme gouverneur des Enfants de France en 1758, il est en charge de l’éducation du futur Louis XVI.
Militaire, physicien, traducteur et écrivain français.
Diplomate, homme d’église et homme de lettres, il est élu à l’Académie française en 1746.
Archéologue, président de la Société des Antiquaires de France.
Seigneur de Puylaurens, de la Perrusse, de la Ville-Aubrun, puis duc de Puylaurens et Pair de France.
Auteur d’une centaine de pièces de théâtre. Reçu à l’Académie française en 1880.