Écrivain d’origine haïtienne. Professeur émérite de l’Université de Montréal, il est l’auteur de plusieurs œuvres littéraires, ouvrages et articles en lien avec l’alphabétisation et l’échec scolaire.

Prince nationaliste égyptien, érudit, surnommé « le Prince d’Alexandrie ».

Bibliothécaire, philologue et historien, il est élu membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres en 1900.

Ecrivain et homme politique italien. Fondateur du journal Des actes et non des Paroles, à Venise, puis directeur du Moniteur Romain, il se rallie au combat de Garibaldi. Exilé en France de 1856 à 1859, il collabore à différents journaux, dont le Courrier de Paris.

Stathouder des provinces de Hollande, de Zélande, d’Utrecht, de Gueldre et d’Overijssel, puis roi d’Angleterre et d’Irlande sous le nom de Guillaume III et roi d’Écosse sous le nom de Guillaume II de 1689 jusqu’à sa mort.

Peintre et graveur, il développe un style très fin-de-siècle peuplé de créatures vénéneuses. Il est également créateur de bijoux de style Art Nouveau et illustrateur.

Naturaliste, explorateur, malacologiste et paléontologue, il effectue, pour le Muséum, un voyage d’exploration à travers l’Amérique du Sud, durant plus de sept ans (1826-1833).

Botaniste et géologue français. Frère cadet d’Alcide d’Orbigny, il dirigea la publication du Dictionnaire universel d’histoire naturelle (1849 en seize volumes, seconde édition en 1861), considéré comme l’une des meilleures encyclopédies d’histoire naturelle du XIXe siècle.

Pédagogue, directeur de l’Institut des Sourds-Muets, auteur d’un Essais sur l’éducation des sourds-muets (1836).

Professeur de grammaire générale, officier de la Légion d’Honneur, il est le premier recteur de Besançon. Disciple de Fourier, il est l’un des précurseurs de la pédagogie moderne.

Médecin et chimiste, pionnier de la toxicologie médico-légale, président de l’Académie de médecine (1851), auteur de nombreux ouvrages, sur les poisons, entre autres.

Fils du duc de Chartres. Explorateur de l’Asie et de l’Afrique Orientale. Auteur, avec Bonvalot de : De Paris au Tonkin à travers le Thibet inconnu (1891).

Prince de sang, troisième fils d’Henri IV, frère de Louis XIII. Chef de l’armée mais intrigant, il participe à la Fronde et Mazarin le fait exiler au château de Blois.

Premier prince de sang, fils de Louis d’Orléans ; lieutenant général et gouverneur du Dauphiné, il est le père de Philippe-Égalité et le grand-père du roi Louis-Philippe.

Duchesse de Lorraine et de Bar (1698-1729) par son mariage avec le duc Léopold 1er de Lorraine ; surnommée « mademoiselle de Chartres », elle était la fille duc duc d’Orléans et nièce de Louis XIV ; par le mariage de son fils François à Marie-Thérèse d’Autriche, elle est aussi la grand-mère de Marie-Antoinette.

Comtesse de Paris, épouse du prétendant au trône de France.

Comte de Paris, prétendant au trône de France, de 1940 à 1999.

Fils du Régent, duc de Chartres puis duc d’Orléans (1723), protecteur des Lettres et des sciences, gouverneur du Dauphiné (1719).

Prétendant orléaniste au trône de France sous le nom de « Philippe VIII » de 1894 à 1926. C’est également un explorateur, un naturaliste et un écrivain. Il mena plusieurs explorations scientifiques en Afrique, en Asie et dans le Grand Nord.

Second fils de Louis-Philippe, général, il participe à la conquête de l’Algérie.

Sculptrice figurative

Intendant à Soissons, en Roussillon et à Lille, Orry est nommé contrôleur général des Finances en 1730. Financier habile et intègre, il rétablit l’impôt du dixième, entretient les routes par la corvée royale, développe le commerce.

Ecrivain et philosophe catalan. De son vrai nom Eugeni d’Ors i Rovira.

Dandy et mécène. Il fut également créateur de parfums.

Amiral, il commande la flotte française lors de la bataille d’Ouessant (1778).

Homme politique, journaliste et avocat colombien, fondateur du Parti conservateur colombien. Il fut président de la Colombie entre 1857 et 1861 pendant la Confédération Grenadine.

Premier souverain de la Grèce moderne, il est élu Roi de grèce à l’âge de 17 ans (1832) ; il est renversé par les révolutionnaires hellènes en 1862.

Peintre, l’un des principaux représentants du Fauvisme.

Diplomate, ministre plénipotentiaire à Londres (1801), ambassadeur de Napoléon à Vienne (1809).

Historien et paléographe, membre de l’Académie française (1772).

Sculpteur, il poursuit également une carrière de graveur et de médailleur. Élève d’Ingres, Prix de Rome en 1831, il reçoit de nombreuses commandes officielles et participe régulièrement au Salon.

Maréchal d’Empire.

Chimiste français du XIXe siècle. Il créa un atelier électrochimique à Auteuil qui permettait de cuivrer de grandes pièces de métal ; il obtient le cuivrage de tous les objets et monuments en fonte de la ville de Paris, dont les fontaines de Vénus, de Diane et des Quatre-Saisons sur les Champs-Elysées, ainsi que les deux fontaines monumentales de la place de la Concorde ; la ville de Paris lui commanda alors tous les candélabres pour l’éclairage au gaz de la ville ; il avait mis au point une peinture spéciale, à base de sulfate de zinc, permettant de réaliser la galvanisation et qui donnait un aspect émaillé au plâtre.

Cinéaste, il réalisa des films parmi les plus grands succès du cinéma français (La Grande Vadrouille, Le Corniaud, etc.).

Peintre impressionniste de genre et de portraits, élève de Cabanel.

Peintre. Elève d’Abel de Pujol et de Chatillon. il se spécialise dans les vues urbaines et les paysages aux architectures grandioses.

Ministre de la Guerre (oct. 1792 – février 1793).

Compositeur italien, kapellmeister à Vienne, Dresde puis à Paris, l’un des plus grands compositeurs d’opéras italiens de son temps.

Romancier, auteur dramatique et cinéaste, de l’Académie française.

Dramaturge. Membre de l’Académie française (1882).