Médecin français, il publia plus d’une vingtaine de traités ; on lui doit également un certain nombre de néologisme comme toxine ou septicémie.

Poète, dramaturge et chansonnier, auteur d’une Ode à Priape qui le poursuivit toute sa vie lui ferma les portes de l’Académie française (Louis XV refusant de ratifier son élection en 1753).

Graveur ; on lui doit une grande partie des gravures des illustrations de Gustave Doré.

Peintre impressionniste franco-danois.

Général d’Empire, commandant le département du Rhône (1801), il se distingua à Austerlitz.

Poète italien. Frère aîné du médailleur, Benedetto Pistrucci, actif en Angleterre.

Astronome et mathématicien italien, président de l’Académie des Sciences de Turin.

Comédien, dramaturge et directeur de théâtre français.

Supérieur de la mission de Syrie, puis évêque délégué de Mésopotamie, assassiné en 1859.

Physicien allemand. L’un des fondateurs de la mécanique quantique, lauréat du prix Nobel de physique de 1918, de la médaille Lorentz en 1927 et du prix Goethe en 1945.

Pianiste français.

Ministre de la quatrième République.

Musicien français, directeur de la compagnie musicale Pleyel et fondateur en 1830 de la première « salle Pleyel ».

Commandant la place de Cholet, puis celle de Saumur (1794).

Président de la République.

Mathématicien.

Physicien, frère de Raymond Poincaré et cousin d’Henri, vice-recteur de l’Académie de Paris.

Dramaturge français, célèbre pour sa naïveté. Il mourut noyé dans le Guadalquivir, à Cordoue.

Journaliste et écrivain français.

Archéologue, membre de l’Académie des Inscriptions, l’un des grands explorateurs de la Tunisie antique, directeur du service des antiquités en Tunisie (1942).

Analyste et mathématicien, de l’Académie des sciences ; il est l’un des créateurs de la physique mathématique.

Botaniste et horticulteur français. Dessinateur et illustrateur de grand talent, il fut directeur du jardin de botanique au Cap à Haïti, jardinier en chef du château de Fontainebleau ou encore directeur de la Revue horticole. Il est également l’auteur de la Pomologie française.

Chanteuse et actrice, elle se fait remarquer par sa taille de guêpe. Sa liaison avec Colette fait scandale.

Président du Conseil de Charles X, de novembre 1829 à juillet 1830.

Chanteur de café-concert.

Diplomate et homme politique grec, ministre plénipotentiaire à Paris, représentant de la Grèce à la conférence de Paris de 1919. Il sera naturalisé français.

Bénédictin à l’abbaye de Saint-Denis sous l’ancien régime, il devient maire de Franciade (Saint-Denis) sous la Révolution, puis député de la Seine au Conseil des Cinq-Cents.

Reine de Tahiti et de Moorea de 1827 à 1877, elle dut signer le traité de protectorat avec la France en 1842.

Miniaturiste et portraitiste.

Maîtresse-en-titre de Louis XV.

Premier ministre de De Gaulle (1962-1968) puis président de la République (1969-1974).

Poète et dramaturge, adversaire des Philosophes, membre de l’Académie française (1759). Il hérita de la charge de président de la Cour des Aides de Montauban.

Poète français.

Poète et homme de lettres, membre de l’Académie française (1830), conservateur de la Bibliothèque nationale (1851).

Sculpteur, graveur et médailleur. Portraitiste en médaille de Napoléon III, il est également professeur à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts.

Marin, major général de la marine, il s’illustre durant la Guerre d’Indépendance américaine.

Ecrivain, journaliste et critique littéraire avignonnais.

Peintre, poète et émailleur. Il laisse des ouvrages sur l’art de l’émail, qu’il s’attache à faire renaître. Élève d’Ary Scheffer, il inspire à Théophile Gautier, Théodore de Banville, ou encore José-Maria de Heredia un recueil de sonnets paru en 1875.

Poète et auteur dramatique, il participe aux Cahiers de la Quinzaine aux côtés de Charles Péguy et d’Alain-Fournier dont il épousera l’ancienne compagne.

Fils de Réjane et de Porel, il est un écrivain proche de Marcel Proust.