Ténor et chanteur d’opérette basque espagnol. Il fut très populaire Amérique latine, en France, en Espagne et au Québec.

Poète, chansonnier, goguettier et vaudevilliste français.

Cantatrice, égérie de Ravel qui lui confie la version orchestrale de ses Deux mélodies hébraïques (1920), et la première audition publique des Chansons madécasses (1926). Fauré, Honneger et de nombreux autres compositeurs contemporains ont également écrit pour elle.

Chanteur d’opéra, directeur du Théâtre de Monte-Carlo.

Chanteur lyrique, engagé au Théâtre de Monsieur (Feydeau) sous la Révolution, il devient pensionnaire de l’Opéra-comique après la réunion des salles Favart et Feydeau (1801).

Muse du Montparnasse des Années Folles, elle posa pour de nombreux artistes, dont Man Ray, Modigliani, Foujita, Kisling, etc.

Soprano autrichienne, elle fait presque toute sa carrière à Paris, en particulier au nouvel Opéra Garnier où son succès ne s’est pas démenti.

Chanteur Italien d’origine française. Auteur de méthodes de chant.

Premier chanteur de l’Opéra de Paris (baryton), maître de chant de la reine Marie-Antoinette, puis premier chanteur de la Chapelle des Tuileries sous l’Empire.

Compositeur d’opéras et chanteur, ténor puis chef de chant à la chapelle de Napoléon.