Aventurier et journaliste, il s’installe en Russie en 1772, entre au service de la famille impériale russe et, en 1786, fonde à Saint-Pétersbourg une revue, le Mercure de Russie. Il décède après 1792.

Explorateur et diplomate, premier drogman à Alexandrie (1855), commissaire du gouvernement à Madagascar (1867-1871), consul général à Batavia (1879) et Calcutta (1882). Il légua tous ses biens à l’Académie des Inscriptions (dont sa riche bibliothèque) et créa, suivant son testament, une fondation à son nom destinée à financer l’exploration scientifique en Afrique et en Asie. Il a donné son nom à une plante malgache : Gladiolus garnieri.

Général, explorateur, il se distingue en Afrique Noire où son intervention permet de capturer Samory. Durant la Grande Guerre, il commande la IVe armée en Champagne.

Naturaliste et explorateur du grand Nord, il prend part aux croisières hydrographiques du prince Albert de Monaco et se charge de la publication des résultats scientifiques. Fondateur de la Société des amis des explorateurs français.

Voyageur et géographe autrichien, fils du grand-duc de Toscane Léopold II.

Voyageur allemand, il visite, à pied, l’Italie, la Suisse, l’Angleterre, l’Amérique, la Russie, la Scandinavie ou encore l’Orient. Auteur de nombreux récits de voyage. Il était aussi général. Sa haine pour Napoléon lui valu 8 mois de prison, à Paris.

Voyageur (en Perse) et philanthrope anglais. A partir de 1762 et jusqu’en 1783, il est responsable du ravitaillement de la Navy, bureau rattaché au Treasurer of the Navy alors dirigé par Welbore Ellis. Fondateur en 1756 de la Marine society.

Voyageur et littérateur, il entre au service d’un prince russe et se trouve déporté en Sibérie ; de retour en France, il devient secrétaire général du Bulletin universel des sciences ; ruiné, il se suicide en 1836.

Ecrivain et voyageur autrichien.

Lieutenant de vaisseau et explorateur, il mène une mission hydrographique sur le fleuve Niger (1895-1896), puis en Chine une mission d’exploration du haut Yang-tsé-kiang (1901).