Etienne Deydier
Elu à la Législative puis à la Convention (Ain) dans les rangs des Montagnards régicides, il devient conseiller à la cour impériale de Lyon (1811) d’où il est révoqué à la Restauration.
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Elu à la Législative puis à la Convention (Ain) dans les rangs des Montagnards régicides, il devient conseiller à la cour impériale de Lyon (1811) d’où il est révoqué à la Restauration.
Député de la Côte d’Or au Conseil des Cinq cents, puis avocat général à la Cour impériale de Dijon.
Fils d’Henri-Evrard, défenseur de la cause conservatrice et légitimiste.
Officier, député de Nancy, écrivain sous le nom de Danrit, il est tué à Verdun à la tête du 56e bataillon de chasseurs.
Diplomate, ministre des Affaires étrangères de Napoléon III, membre de l’Ac. des sciences morales et politiques.
Ecrivain. Il reçoit le Prix Goncourt en 1948 et entre à l’Académie française en 1966. Homme politique : ministre des Affaires culturelles (1973-1974) et député de Paris (1978-1981).
Général d’artillerie, il est ministre des Affaires étrangères en 1792 et ministre de la Marine la même année puis sous la Restauration.
Cardinal (1622), duc de Richelieu (1631) et duc de Fronsac (1634), il fut le principal ministre du roi Louis XIII.
Cardinal, premier ministre durant la Régence (1715-1723), membre de l’Académie française.