Banquier, journaliste et collectionneur d’art italien naturalisé français.

Jésuite, membre de l’Assemblée législative (1791), auteur d’un Mémoire pour le peuple français (1788) qui eut à peu près autant de succès que l’écrit de Sieyès, Qu’est-ce que le Tiers Etat. Grand ami de Mirabeau, il prononça son éloge funèbre.

Nusmimate, auteur du Catalogue des monnaies gauloises de la Bibliothèque Nationale (1889).

Formé au Séminaire des Missions étrangères de Paris, il est ordonné prêtre en 1899 et devient bientôt le curé de Hakodate (Japon). Fait évêque de Tokyo en 1927 par Pie XI, il prend poste à Yokohama dix ans plus tard.

Homme d’Église français, évêque de Dol et de Senlis. Il fut élu membre de l’Académie française, le 5 janvier 1702

Philanthrope, il devient célèbre à Paris sous le nom de « l’homme au petit manteau bleu » en distribuant des soupes, des vivres, des vêtements, en récompensant les écoliers travailleurs.

Commandant militaire du Dauphiné et président à mortier de la province.

Evêque d’Isionda et auxiliaire de l’archevêque de Paris (1922), il est chargé de fonder et de diriger une administration dociésaine des étrangers ; à ce titre, il crée de nombreuses oeuvres de charité en faveur des immigrés et des réfugiés.

Missionnaire, il est envoyé dans les Indes Orientales (1830), sacré évêque de Jassen (1845), puis devient le premier vicaire apostolique de Maïssour, en Hindoustan (1850). Il est l’auteur d’un dictionnaire latin-kanara.

Avocat. Député de la Loire.