Jean Gilles
Général de corps d’armée, l’une des figures des paras d’Indochine ; commandant le corps d’armée de Constantine (1958).
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Général de corps d’armée, l’une des figures des paras d’Indochine ; commandant le corps d’armée de Constantine (1958).
Écrivain, emprisonné sous la Terreur, il devient directeur de l’Instruction publique en novembre 1795. Il est ensuite nommé ambassadeur à Turin, puis membre du Tribunat. Il est également membre de l’Institut.
Général fait commandant de la Légion d’honneur, en juin 1804. Il se fait remarquer à la tête de l’armée de Rome en réprimant les insurgés de Ferentino et Frosinone (1798), avant de participer à la prise du Fort Saint-Elme, à Naples, l’année suivante.
Historien médiéviste, paléographe, il est l’expert en écritures dans l’affaire Dreyfus et conclut à l’innocence de celui-ci. Membre de l’Institut (Inscriptions).
Ministre de l’Intérieur (1882), de l’Instruction publique (1885-1886), dse Affaires étrangères (1888-1889), président du Conseil (1885-1886).
Historiographe du roi, spécialite de la guerre de Cent ans, conservateur des archives royales.
Révolutionnaire socialiste badois exilé en Suisse, co-fondateur et membre du Comité central de la Ligue international de la Paix et de la Liberté ; membre de sociétés ouvrières allemandes, il organisa des grèves à Genève. Il était également l’époux de Marie Goegg-Pouchoulin.