Armand Barbès

(1809/1870)

Républicain farouche, il rejoint plusieurs sociétés prolétariennes (dont la Société des Saisons). Il prend part à deux journées historiques : celle du 12 mai 1839, avec la tentative de renversement de Louis-Philippe puis celle du 15 mai 1848, avec la formation d’un gouvernement insurrectionnel. Amnistié en 1854, il meurt exilé.

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Antoine Alexandre Barbier

(1765/1825)

Bibliographe, auteur du Dictionnaire des ouvrages anonymes et pseudonymes, Antoine-Alexandre Barbier, bibliothécaire particulier de Napoléon puis administrateur des bibliothèque de Louis XVIII, crée les bibliothèques du Louvre, de Compiègne et de Fontainebleau.

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Maurice Bardèche

(1907/1998)

Ecrivain nationaliste, fondateur de « Défense de l’Occident » (revue diffusée de 1952 à 1982), il se réclame du fascisme. Il est l’un des premiers (dès 1948) à nier l’existence de la Shoah.

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Bertrand Barère de Vieuzac

(1755/1841)

Constituant et conventionnel, membre du Comité de Salut-Public, artisan de la Terreur, fidèle à Robespierre jusqu’à sa chute, il fut condamné à la déportation en Guyane.

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Odilon Barrot

(1791/1873)

Monarchiste, chef de la gauche modérée, initiateur, malgré lui, de la Révolution de 1848, Barrot, séduit par le Prince-Président, accepte le ministère de la Justice, en 1848.

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Louis Barthou

(1862/1934)

Homme politique, président du Conseil, il est assassiné à Marseille avec le roi Alexandre 1er de Yougoslavie.

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