Naturaliste. Il dirigea la chaire de Culture au Muséum d’histoire Naturelle, de 1825 à 1828.

Géomètre et mathématicien français, membre de l’Académie des sciences, correspondant des Académies de Berlin et de Bologne et membre honoraire de l’Académie de Saint Pétersbourg. Il collabora aux encyclopédie de Diderot et d’Alembert et de Panckoucke.

Statisticien et administrateur, il a donné son nom à l’Almanach du Commerce de Paris qu’il dirige de 1819 à 1853.

Mathématicien sorti de Polytechnique, il enseigne ensuite la littérature à l’Athénée. Il publie des ouvrages scientifiques et des recueils poétiques.

Chimiste, pharmacien de Napoléon et médecin de l’Impératrice Joséphine, il fut le premier à préconiser l’essai chimique des médicaments.

Vétérinaire français. Il fut professeur de clinique vétérinaire à l’École nationale vétérinaire d’Alfort, il fut également un fervent défenseur des découvertes et théories de Louis Pasteur.

Préhistorien et géologue, il émit, le premier, l’hypothèque de l’homme tertiaire. En 1867, il annonce au congrès d’anthropologie et d’archéologique préhistorique, la découverte de silex portant les marques d’un travail humain dans les terrains miocènes de Thenay, ce qui suscita une vive polémique. Il exposa ses thèses dans La question de l’homme tertiaire. Il avait formé une riche collection d’instruments préhistoriques.

Naturaliste, auteur de l’Histoire naturelle de perroquets, ouvrage somptueux qui fait suite aux deux volumes de Levaillant. Il était le gendre d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire dont il prit une partie du nom.

Chimiste et agronome, membre de l’Académie des sciences (1839), député du Haut-Rhin (1848), il est l’un des fondateurs de l’Institut national agronomique.

Economiste russe, auteur d’un « Essai sur la richesse nationale et les principes d’économie politique » dans lequel il développe les théories de Smith et Rossi appliquées à son pays.