L’académicien Jean-François Cailhava se méfie des oculistes
Jean-François Cailhava (Estandoux, Toulouse, 1730/1813)Belle lettre de Jean-François Cailhava, adressée à son neveu. Ce dernier, menacé de perdre la vue, est en cours de guérison. Son médecin l'incite "à continuer à te purger et tu éloigneras peu à peu, à mesure que tu iras mieux, l'époque des médecins. Il t'exhorte encore à te servir de la pommade de Metz puisque tu ne trouves pas du St Bois : il t'exhorte surtout à ne pas te mettre entre les mains des oculistes ; ils ne sont bons que pour opérer. C'est à la cause du mal qu'il faut aler [sic], et lui faire la guerre, c'est l'humeur qu'il faut combattre, et triompher d'elle. [...]". Il lui adresse des volumes.
450,00€