Le général Galopin prend des mesures pour les zouaves.
Alfred Galopin (Saint-Satur, 1852/1931)Lettre du chef de bataillon Sarlat, commandant le dépôt du premier régiment de zouaves à Saint-Denis, faisant part d'incohérences dans la gestion des permissions des zouaves. «Il en résulte toujours une perte de temps appréciable, généralement un supplément de dépenses pour l'Etat. C'est ainsi que le zouave Millet, dirigé directement sur Saint-Denis, le 10 janvier, par le dépôt des convalescents de Châteauroux et dont la famille réside en Algérie, a fait, aux frais de l'Etat, le déplacement de Châteauroux à St Denis et de cette dernière localité à Marseille, au lieu d'aller simplement de Châteauroux à Marseille [...]». La proposition est visée par le général Ravenes, commandant le dépôt de la Seine, qui souhaite que la question des congés et permissions ne fasse l'objet que d'une seule règlementation. Le général Galopin approuve cette demande.
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