Les maximes politiques de 3 députés des Yvelines de la Constituante de 1848.
Sur 3 grands feuillets, 3 députés de Seine-et-Oise ont inscrit leur maxime politique :
- D'Albert de Luynes (1802/1867), député de Seine-et-Oise (1848-1851). Pièce autographe signée. ¼ p. in-folio. 6 juin 1850. « tradidit mundum disputationibus corum » [Dieu a livré le monde à leurs disputes]. On joint une L.A.S. s'excusant de ne pouvoir assister à la séance du Conseil de surveillance de l'assistance publique (janvier 1850).
- Louis Hugues Flandin (1804/1877), député de Seine-et-Oise (1848-1851). Pièce autographe signée. ¼ p. in-folio. 28 mai 1849. « virtute duce crescetis reipublicae [...] ».
- Albin de Berville (1788/1868), député de Seine-et-Oise (1838-1849). Pièce autographe signée. ¼ p. in-folio. Août 1848. « Les Révolutions sont comme les remèdes héroïques : une dose, prise à propos, vous guérit ; une seconde vous tue »
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