François Joseph Victor Broussais
Médecin et chirurgien, il définit une nouvelle doctrine médicale, la médecine physiologique.
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Médecin et chirurgien, il définit une nouvelle doctrine médicale, la médecine physiologique.
Éminent physiologiste et neurologue français, président de la Société de biologie. Il réalisa d’importants travaux sur la mœlle épinière et ses maladies, entre autres. Ses essais sont le point de départ de l’organothérapie et de l’opothérapie.
Amiral, gouverneur des îles Marquises puis des Etablissements français de l’Océanie (1843), il fit reconnaître le protectorat français sur Tahiti.
Officier au service des princes émigrés, aide de camp du comte d’Artois, il avait participé à la Guerre d’Indépendance américaine.
Philologue, auteur de l’Anthologie grecque.
Peintre de paysages. Marié à l’artiste peintre Aimée Pagès.
Linguiste et philologue, il a repris l’Histoire de la langue française de Ferdinand Brunot, à la mort de ce dernier.
Comédien comique, très renommé, sous la Révolution et l’Empire, pour ses mimiques. Surnommé « le roi des Jocrisse et des Cadet-Roussel ».
Critique littéraire, antidreyfusard, directeur de la Revue des Deux Mondes, membre de l’Académie française (1893).
Prince et général allemand, l’un des plus éclairés de son temps ; commandant l’armée prussienne, il est mortellement blessé au combat d’Auerstaedt, en 1806.
Feld-maréchal prussien de Frédéric le Grand puis du roi George II d’Angleterre, il s’illustre durant la guerre de Sept-ans. A la paix, il consacre le reste de sa vie à la franc-maçonnerie et aux pratiques théosophiques.
Premier géographe du roi, membre de l’Académie des sciences (1770), ingénieur géographe en chef. Il est chargé de dresser les cartes des bailliages du royaume, en 1788.
Diplomate britannique. Ambassadeur d’Angleterre en Italie puis en Russie et ministre plénipotentiaire des Pays-Bas et du Luxembourg puis de Bulgarie.
Amiral anglais ; à l’âge de 19 ans, étant en poste en Amérique du Sud, il est promu lieutenant et envoyé sillonner les mers de l’Inde et de la Chine.
Mathématicien, auteur de travaux sur les nombres complexes. Il fut un opposant résolu à la Révolution.
Chanteuse de music-hall et de variétés, surnommée « la cigale nationale ».
Naturaliste, auteur de l’Histoire Naturelle, véritable bible de la connaissance scientifique du XVIIIe siècle, dont la publication, commencée en 1749, ne s’acheva qu’en 1788. Membre de l’Académicien française et de l’Académie des sciences.
Militaire français. Il fut décapité en 1794.
Philosophe et homme politique, co-fondateur de la Ligue des droits de l’homme, lauréat du prix Nobel de la Paix (1927), il préside la commission chargée de la mise en oeuvre de la loi de séparation de l’Église et de l’État.
Roi de Bulgarie.
Prince de la maison de Saxe-Cobourg et Gotha. Il prend le titre de tsar des Bulgares en 1908.
Publiciste, figure centrale du mouvement romantique, directeur de la Revue des Deux-Mondes, de 1831 à sa mort.
Il succéde à son père, François Buloz, à la tête de la Revue des Deux-Mondes, de 1877 à 1893.
Érudit et noble italien, ancêtre de Napoléon Ier. Il fut docteur en droit à l’université de Pise (1712), membre du chapitre des Chanoines de San Miniato, puis sous-diacre apostolique, vicaire et enfin évêque de la cathédrale de San Miniato, de 1720 à 1734. En 1727, le grand-duc Gian Gastone de Medici le choisit comme évêque de Montepulciano, mais il déclina. Grand ami de Giusto Fontanini, il fit également parti de la cour du cardinal Impériali, à Rome.
Libraire, auteur de la Bibliographie instructive.