Augustin Cabanès
Médecin fondateur de la Chronique médicale (1894) et grand historien de la médecine.
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Médecin fondateur de la Chronique médicale (1894) et grand historien de la médecine.
Philosophe et physiologiste, défenseur du matérialisme, membre de l’Académie française, inhumé au Panthéon.
Romancier et essayiste, prix Renaudot (1966), mainteneur de l’Académie des Jeux Floraux, membre de l’Académie française (1990).
Militaire, écrivain et homme politique français.
Chimiste et agronome, il a fortement contribué à propager la culture de la pomme de terre.
Epigraphiste, archéologue et philologue, spécialiste de l’antiquité romaine.
Hébraïsant, fondateur des Archives israélites, il a réalisé la première traduction de la Bible juive en français.
Ministre de l’Intérieur (nov. 1791 – mars 1792).
Journaliste à L’Illustration et écrivain. Il s’inspire de l’Histoire pour l’écriture de ses romans.
Auteur dramatique, poète et critique français.
Diplomate, il assure l’intérim du ministère des Relations extérieures en 1801 et signe le traité de paix avec la Bavière.
Auteur dramatique, proche ami de Proust qui s’inspira de son lui pour Robert de Saint-Loup.
Peintre et illustrateur, conservateur du musée Carnavalet.
Anatomiste, physiologiste et naturaliste italien, auteur de Icones anatomicae, l’un des livres les plus célèbres de l’iconographie anatomique de tous les temps (1801-1814).
Sculpteur, élève de Pajou, Prix de Rome (1797).
Journaliste et femme de lettres féministe. Elle cosigna quelques romans avec Henry Gauthier-Villars dit Willy sous le pseudonyme de Ménalkas.
Diplomate et homme de lettres français. Il est l’auteur de l’ouvrage : De la manière de négocier avec les souverains.
Bactériologiste, il a mis au point plusieurs vaccins, dont le B.C.G. Membre de l’Académie des sciences (1927), sous-directeur de l’Institut Pasteur.
Ecrivain et philosophe italien, auteur du Baron Perché.
Prince archichancelier de l’Empire, conventionnel régicide, membre de l’Académie française (exclu).
Diplomate et administrateur, ambassadeur à Constantinople et Londres, promoteur de l’Entente cordiale.
Diplomate et administrateur, gouverneur général de l’Algérie (1891), membre de l’Académie française (1918).
Général d’Empire, Prince et beau-frère de Napoléon Ier.
Première femme de chambre de Marie-Antoinette, elle ouvre un pensionnat où se presse la haute société du Premier empire.