Henri Dannreuther

(1855/1911)

Historien barisien, président de la Société des Lettres, Sciences et Arts de Bar-le-Duc ; il était aussi pasteur de cette ville.

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Jean-Marie Dargaud

(1800/1866)

Historien et romancier, il s’est notamment intéressé à l’Histoire de l’Empire britannique et à ses personnages les plus marquants (Jane Grey, Marie Stuart ou Cromwell).

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Alfred Darjou

(1832/1874)

Il collabore au Charivari, revue satirique pour laquelle il réalise de nombreuses lithographies et illustrations.

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Benoit Henry Darondeau

(1805/1869)

Marin et ingénieur hydrographe, il prit part au voyage de circumnavigation de Vaillant sur la Bonite en 1836-1837, et rédigea les 4 volumes des observations physiques.

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Pierre Daru (comte)

(1767/1829)

Après le 18 brumaire, il s’attache à la fortune de Napoléon et devient membre du Tribunat, intendant général de la Grande Armée, ministre et secrétaire d’Etat (1811). Membre de l’Académie française (1806).

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Auguste Daubrée

(1814/1896)

Géologue, minéralogiste, membre de l’Académie des sciences (1861) dont il devient le président (1879), professeur de géologie au Muséum, spécialiste des météorites, on lui doit un important travail sur le métamorphisme.

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Julia Daudet

(1844/1940)

Femme de lettres, poétesse et journaliste française. Épouse et collaboratrice d’Alphonse Daudet, elle fut la mère de Léon Daudet et Lucien Daudet.

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Jean Daujat

(1906/1998)

Philosophe néothomiste français, disciple de Jacques Maritain, fondateur du Centre d’études religieuses, spécialisé dans l’enseignement de la religion chrétienne.

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Raoul Dautry

(1880/1951)

Ingénieur et homme politique français. Il fut ministre de la Reconstruction et de l’Urbanisme à la Libération, puis administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique.

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Humphry Davy

(1778/1829)

Physicien et chimiste britannique. Il isola le sodium, le potassium, le baryum, le strontium, le calcium et le magnésium grâce à l’électrolyse.

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Guillaume Eugène Théodore de Budé

(1836/1910)

Philanthrope et historien suisse. Il fut à l’origine de nombreuses institutions suisses telles que l’Asile de nuit (1876), l’Auberge des familles (1882), la Société des bibliothèques populaires, l’école professionnelle de jeunes filles, les Bains de Genève (1898), la Société genevoise de protection des animaux, le Bureau international contre la littérature immorale (1885), etc.

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