François-Georges Desfontaines
Auteur dramatique fécond, il était censeur royal et bibliothécaire de Monsieur, avant la Révolution.
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Auteur dramatique fécond, il était censeur royal et bibliothécaire de Monsieur, avant la Révolution.
Médecin militaire, de l’Académie des sciences. Médecin en chef de l’armée d’Egypte, il ranima, par un geste héroïque, la confiance des soldats, en s’inoculant le pus d’un bouton pesteux.
Jésuite, il enseigne l’histoire de l’Eglise à Vals. Auteur de nombreux ouvrages ecclésiastiques.
Littérateur, auteur de relations de voyages en Europe, et grand maître des Eaux et forêts.
Homme d’État français, contrôleur général des finances de Louis XIV.
Oculiste et ophtalmologiste, il est le premier à pratiquer l’iridectomie.
Magistrat et écrivain, auteur d’ouvrages sur la Picardie.
Botaniste lillois, collaborateur du Bulletin de la Société botanique de France, auteurs de travaux sur les plantes cryptogames.
Poète surréaliste ; arrêté par la Gestapo, il est déporté en camp de concentration.
Modèle et muse de Foujita à Montparnasse, puis épouse de Robert Desnos qu’elle avait rencontré en 1928. Née Lucie Dadoud, Foujita la surnomme Youki « neige rose » en japonais.
Evêque de Saint-Denis de la Réunion (1850-1857), puis de Limoges (1857-1859) et archevêque de Toulouse (1859-1895), il est créé cardinal en 1879.
Il célèbre les grands événements de l’histoire militaire de la France : sortie de la garnison de Huningue et Barbanègre, entre autres. Une de ses réalisations majeures : La Chevauchée de la Gloire (1905) destinée à l’abside du Panthéon.
Compositeur autrichien de musique sérielle, chef d’orchestre, élève et assistant de Schönberg, ami de Berg, Webern, Tzara et Cocteau.
Publiciste et conseiller d’Etat, il tenait un salon littéraire réputé à la fin du XVIIIe. Elu à l’Académie française en 1803, il meurt deux mois plus tard. On ne connait pas sa date de naissance.
Consul de France en Algérie (1819-1832), puis à Tunis (1832-1836), Alep (1836) et Beyrouth (1837 à sa mort).
Archéologue, il s’intéresse beaucoup à l’Histoire et au patrimoine de La Ferté-Milon, qui vit naître Jean Racine. Il est notamment l’auteur des Notes sur les vitraux des églises Saint-Nicolas et Notre-Dame de La Ferté-Milon (1913).
Historien et archiviste belge, membre de la Commission royale d’histoire et premier président du Cercle archéologique de Mons.
Elu à la Législative puis à la Convention (Ain) dans les rangs des Montagnards régicides, il devient conseiller à la cour impériale de Lyon (1811) d’où il est révoqué à la Restauration.
Député de la Côte d’Or au Conseil des Cinq cents, puis avocat général à la Cour impériale de Dijon.
Peintre français. Il forme, avec Richard Di Rosa, François Boisrond, Rémi Blanchard et Robert Combas le mouvement français de la « figuration libre ».
Homme politique roumain. Il fut également dramaturge, socialiste engagé et archéologue.
Pasteur, journaliste et sénateur d’extrême-gauche, fondateur du Protestant libéral et de la Revue de la Révolution française.
Ecrivain, philosophe et encyclopédiste français des Lumières, à la fois romancier, dramaturge, essayiste et traducteur.
Président de la Société genevoise des amis de l’instruction, fondateur de l’École supérieure de commerce de Genève.
Dominicain et pédagogue, grand promoteur du sport moderne, il participe aux côtés de Pierre de Coubertin au renouveau des Jeux olympiques dont il invente la devise «Citius, Altius, Fortius» («Plus vite, plus haut, plus fort»).
Imprimeur, éditeur, créateur de caractères typographiques et homme politique français.
Président de l’Afrique du Sud de 1975 à 1978.