Journaliste et homme politique, l’un des principaux acteurs de la Révolution de 1848 ; éphémère maire de Paris (mars-juillet 1848), il est aussi l’un des rédacteurs de la constitution de 1848.

Ecrivain, journaliste et critique littéraire, co-fondateur avec son ami Henri Martineau, grand spécialiste de Stendhal, de la revue littéraire Le Divan.

Entomologiste, auteur de nombreuses publications, fondateur, en 1864, d’une revue consacrée aux coléoptères, l’Abeille ; sa collection est conservée au Muséum.

Ecrivain et comédien, Muscadin, fondateur du Drapeau blanc.

Violoniste virtuose et compositeur ; Charles Gounod composa pour lui l’Offertoire.

Sculpteur et décorateur, il travaille en étroite collaboration avec son jumeau, Joël. Ils exposent régulièrement dans les Salons. L’architecte Robert Mallet-Stevens leur créa une superbe villa-atelier dans le 16e arrondissement parisien.

Compositeur, auteur de nombreuses oeuvres de musique de chambre, il fut président de la section française de la Société Internationale de Musique Contemporaine.

Général, chef d’état-major de l’armée pendant la guerre de Crimée (1854-1855), chef d’état-major général pendant la guerre d’Italie (1859), gouverneur de l’Algérie (1864).

Disciple de Bernardin de Saint-Pierre, dont il épouse la veuve, il se fait connaître par la publication des « lettres à Sophie sur la physique, la chimie et l’histoire naturelle » (1810). Conservateur de la bibliothèque Saint-Geneviève.

Ingénieur, il travaille avec son père aux forges de Fourchambault (Nièvre) qui fabriquent, au XIXe siècle, la moitié de la production mondiale d’acier. Inventeur d’un procédé de fabrication de l’acier par décarburation.

Historien et homme politique, académicien (1878), député et sénateur de l’Aisne.

Archiviste paléographe, administrateur de la bibliothèque de l’Arsenal.

Député d’extrême gauche du Loiret à la Constituante de 1848 et maire d’Orléans.

Jésuite, supérieur de ma mission du Bas-Canada (1844), il s’emploie à la fondation du Collège Sainte-Marie de Montréal.

Peintre pointilliste.

Docteur en médecine et biologiste français. Il fut vice-président de la Société de pathologie exotique.

Théologien protestant et ministre calviniste, traducteur de la Bible.

Romancier, auteur du roman-fleuve Les Thibault (1920-1940), prix Nobel de littérature (1937).

Diplomate, voyageur et helléniste français.

Journaliste et critique littéraire au Mercure de France.

Ténor d’origine italienne. Il fit l’essentiel de sa longue carrière au Metropolitan Opera de New York.

Graveur, il est Prix de Rome sous le directorat de Jean-Dominique Ingres. Il est également membre de l’Institut, section Beaux-Arts.

Evêque de Moûtiers-Tarentaise (1825), puis archevêque de Chambéry (1827).

Botaniste, géologue et médecin français.

Prêtre trappiste français. Fondateur de l’abbaye de Staouëli, en Algérie.

Cardinal archevêque de Paris (1968-1981), évêque de Saint-Flour (1952-1959).

Inspecteur des Beaux-Arts, il est surtout connu pour ses travaux de critique d’art, et sa défense de Degas, Gauguin, Puvis de Chavannes ou encore Renoir.

Poète bourguignon, il est le fondateur dans les années 1920 de l’École gallicane dont le but est de revivifier les formes poétiques médiévales. Il est décoré de la Légion d’Honneur et membre de l’Académie Mallarmé.

Egyptologue.

Compositeur.

Maréchal de France.

Compositeur français.

Philologue, voyageur et diplomate, spécialiste des Balkans.

Comédienne, morte en asile psychiatrique ; c’est elle qui créa le rôle de Nana (1881).

Critique littéraire. Académicien (1960).

Historien spécialiste de Napoléon. Membre de l’Académie française (1903).

Génétal de l’Empire, il sert dans l’artillerie de marine

Graveur, il perd ses mains dans l’explosion d’un obus en 1871 ; il travaille dès lors grâce à des prothèses. Spécialisé dans l’eau-forte, il signe à la fois des oeuvres d’invention et des réinterprétations de tableaux existants.

Peintre, graveur, illustrateur et décorateur de théâtre français. Il fut membre du mouvement surréaliste.

Journaliste, écrivain et peintre français.