Anne-Marie de Mongeroult, comtesse d’Hautpoul
Femme de lettres française.
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Femme de lettres française.
Scientifique, minéralogiste et religieux français. Il embarqua avec La Pérouse dans son voyage d’exploration de l’océan Pacifique au cours duquel il disparait, en mai 1788.
Magistrat, érudit, historien et collectionneur. Il publie avec Petitot les 130 volumes de la Collection de mémoires relatifs à l’histoire de France, depuis Henri IV jusqu’à la paix de Paris. Il est membre de l’Académie des Inscriptions et des Belles Lettres.
Vaudevilliste et critique théâtral, directeur de l’opéra puis commissaire des théâtres.
Armateur, banquier, négociant et homme politique français.
Libraire et éditrice, elle ouvrit sa célèbre librairie de la rue de l’Odéon, La Maison des amis des livres, en 1915 ; elle publia la première traduction d’Ulysse de Joyce.
Écrivain et journaliste antisémite, proche collaborateur d’Edouard Drumont à La Libre Parole.
Conservateur des Musées nationaux, notamment du Musée du Luxembourg et membre du secrétariat international de la Société des nations.
Peintre français, fondateur du Groupe Européen d’Art Narratif.
Peintre d’histoire et illustrateur, membre de l’Académie de peinture (1789).
Peintre, il est également décorateur. Président du Salon d’Automne et président du Salon des artistes décorateurs.
Éthnologue, anthropologue et orientaliste français, spécialiste du monde berbérophone. Il est l’auteur de nombreux travaux sur l’Afrique du Nord et le Maroc en particulier.
Médecin, chirurgien en chef de la Charité de Lyon.
Historien, fondateur avec Lamennais du journal l’Avenir, académicien (1851), parlementaire royaliste et catholique. Pair de France (1831).
Homme d’état, ministre de l’Intérieur de Napoléon en 1809.
Ministre de l’Intérieur de Louis-Philippe à plusieurs reprises, il fut également son exécuteur testamentaire.
Evêque d’Autun (1748), puis archevêque de Lyon (1758-1788), membre de l’Académie française.
Officier et homme d’État, ministre de la Guerre de Louis XVI (1777-1780).
Lieutenant-général des armées françaises en Nouvelle-France. Il défendra avec brio le Canada face aux armées britanniques, notamment lors de l’écrasante victoire de Fort Carillon.
Militaire français. Commandant en second pour le Roi en Vivarais et Velay.
Résistant et homme politique, député du Finistère et maire de Quimper, ministre de la Santé (1954-1955).
Auteur des Lettres Persannes, de l’Esprit des lois, etc. Membre de l’Académie Française.
Poète et dandy, il inspira Proust pour le personnage du Baron de Charlus, dans A la Recherche du temps perdu.
Général, homme politique et écrivain, membre de l’Académie française, député aux Etats généraux de 1789.
Poète, auteur d’un grand nombre d’odes et poésies diverses, membre de la Société des Belles-lettres de Caen.
Auteur d’ouvrages pour la jeunesse, romancier et nouvelliste.
Romancier et critique, l’un des créateurs du mouvement naturiste. Il lança le 15 novembre 1908, avec André Gide, le premier numéro historique de La Nouvelle Revue française, mais une dissension entre les deux hommes amena Gide à faire paraître deux mois plus tard un second « numéro un ».
Général, aide de camp de Napoléon, il accompagne l’Empereur à Sainte-Hélène qui le choisit comme exécuteur testamentaire.
Fille de Montholon, conçue à bord du HMS Northumberland sur lequel ses parents accompagnaient Napoléon vers son dernier séjour, elle naît à Sainte-Hélène le 18 juin 1816, jour du premier anniversaire de Waterloo. Elle est la première née à Sainte-Hélène et la dernière survivante de la petite suite qui accompagna le proscrit dans sa captivité. Napoléon sera son parrain.
Officier de marine et navigateur français. Il participa à la guerre d’indépendance des États-Unis, avant d’embarquer comme second sur l’Astrolabe, un des deux navires de l’expédition de La Pérouse (-1788) au cours de laquelle il trouve la mort. L’expédition avait prit fin au large des Nouvelles-Hébrides en se fracassant sur les récifs de l’île de Vanikoro dans le Pacifique sud.
Député aux États généraux, il défend la monarchie et ses privilèges avec acharnement, et doit s’exiler en Angleterre où il entre au service de Bonaparte.