Paul Péraire
Peintre de paysages de l’École de Barbizon. On lui doit aussi de nombreuses vues de la région parisienne.
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Peintre de paysages de l’École de Barbizon. On lui doit aussi de nombreuses vues de la région parisienne.
Architecte néoclassique français. Il travailla en association avec son camarade d’études Pierre Fontaine.
Médecin, chirurgien en chef des armées sous la Révolution et l’Empire. Membre de l’Académie des sciences.
Précurseurs de l’éducation des sourds muets et de l’orthophonie. Il est le grand-père des frères Émile et Isaac Pereire, banquiers et entrepreneurs du Second Empire.
Député aux Etats généraux et à la Convention (Haute-Garonne), préfet de Sambre-et-Meuse.
Poète dadaïste puis surréaliste, adepte de l’écriture automatique.
Physicienne, collaboratrice de Marie Curie, elle découvre le Francium en 1939. Première femme correspondant de l’Académie des sciences.
Professeur de zoologie à la Faculté des Sciences de l’Université de Bordeaux. Son travail sur les hyménoptères l’amènera à collaborer avec Jean-Henri Fabre. Son œuvre majeure est Les abeilles, parue en 1889.
Journaliste et homme politique français. Membre du Comité central du Parti communiste français, responsable du service de politique étrangère de L’Humanité et député de Seine-et-Oise, il fut arrêté comme résistant par la police française et fusillé.
Banquier et homme politique, président du Conseil (1831).
Peintre et acteur, directeur du grand théâtre de Lyon (1803), père du comédien Andrien Perlet.
Oratorien, évêque, cardinal et historien, il fut évêque d’Autun (1874-1906) et membre de l’Académie française.
Général de division, commandant les troupes de l’A.O.F.
Banquier, régent de la Banque de France (1800), il s’associe avec Jacques Laffitte.
Peintre. Elève, entre autres, de Puvis de Chavannes et d’Antoine Vollon, il aime représenter paysages et scènes de genre.
Écrivain, auteur du Caporal Epinglé, il a mené une vie aventureuse, où se mêlent vie militaire, expéditions lointaines, journalisme et publications de romans.
Aarchitecte, l’un des premiers à utiliser le béton armé, reconstructeur du centre-ville du Havre.
Vice-amiral, commandant de la division navale d’Extrême-Orient.
Ingénieur et architecte français, fondateur et premier directeur de l’École des ponts et chaussées.
Pharmacien et botaniste, membre (1927) puis président (1944) de l’Académie de Médecine, président de la Société botanique de France.
Archéologue et helléniste, il enseigne à la Sorbonne avant de diriger l’École normale supérieure. Il est élu membre de l’Académie des Inscriptions et belles-lettres, dont il devient le secrétaire perpétuel en 1904.
Général des armées des Etats-Unis ; il reste, à ce jour, l’officier le plus haut gradé qui ait jamais servi dans l’armée des États-Unis.
Ministre de l’Intérieur, fidèle partisan de Napoléon III.
Botaniste et mycologue hollandais, auteur de plusieurs ouvrages sur les champignons.
Compositeur, grand prix de Rome (1866), professeur d’harmonie au conservatoire ; Debussy, qui aimait beaucoup ses mélodies, avait copié sa Chanson d’un fou, qui a longtemps été publiée par erreur sous son propre nom.
Maréchal de France, héros de Verdun, chef de l’Etat Français. Académicien.
Géographe. Habile dessinateur, il travaille à l’Atlas de Berghaus dont il devient le secrétaire. Il s’installe à Londres en 1847 et se spécialise en géographie des régions arctiques, avant de signer, notamment, les cartes de la relation de Barth et celles de l’Atlas portatif de Stieler. Il laisse son nom à nombre d’îles, baies et montagnes.
Ministre de la Guerre sous le Directoire, intendant général de la Grande armée, il organise le camp de Boulogne et la campagne d’Austerlitz. Après des funérailles grandioses, il est inhumé au Panthéon.
Conventionnel et maire de Paris. Girondin, décrété d’arrestation, il réussit à fuir Paris, mais se suicide avec Buzot, près du hameau du Cafol (Gironde).